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Et cette contenance-là, pour joliment, est ce qui manquait ailleurs. On a assez souvent consulté excessivement de nombreuses années, beaucoup fortement. On en conserve une embêtement. Un malaise. On ne vise à plus redémarrer. Mais on sent que ce domaine revient. Alors on cherche un format qui permette de recevoir sans replonger. Il y a des éléments de infiniment nettoyé dans cette démarche. Ce n’est pas un compromis. C’est une désir. L’exigence de ne pas se mentir. De ne pas se disperser. De préserver son axe, même en classant. Et pour cela, il faudrait un départ réduit, précis, sans fiançailles excessive. Il faut abandonner de l’idée que la profondeur d’une consultation dépend de sa durée. Certains pratiques brefs contiennent plus de légitimité que des séances longues. Ce n’est pas un thème précis de grandeur. C’est une problématique de présence. D’écoute. De écriture. Ce que ces individus attendent, ce n’est pas qu’on leur raconte le futur. C’est qu’on lise leur élégance. Qu’on perçoive ce qu’elles se vêtissent d' et qu’elles n’arrivent plus à explorer clairement. Elles cherchent un proverbe qui fasse écho. Une phrase qui tombe immédiate. Même si elle dérange. Même si elle confirme ce qu’elles craignaient. Ce qu’elles souhaitent, c’est une note personnifiée, dans un format qui ne les met pas en tension.